Louisa, une jeune fille au look androgyne, menait une vie relativement tranquille entre son travail d'institutrice et sa passion pour la séduction de femmes mûres. En postulant pour un poste de nounou chérement remunéré, elle se retrouve recrutée par les services secrets Français pour infiltrer l'entourage d'un puissant et riche prince d'un Émirat du désert. Sa mission consiste à séduire la quatrième femme du prince et mère de ses deux enfants, une levantine d'une extrême beauté aux tendances lesbiennes masochistes cachées.

Louisa s'acquitte de sa tâche avec enthousiasme et succès. Elle collecte des informations précieuses sur les opérations extérieures de l'Émirat, profitant de la domination sexuelle qu'elle exerce sur la princesse. Quand elle fut chargée de localiser des archives privées du prince, elle trouve dans Leona, une belle amazone black américaine et monitrice sportive du palais, une sérieuse concurrente pour la conquête de la princesse. Leona est en fait une agente de la CIA, infiltrée au palais avec le même dessein que Louisa. Une concurrence acharnée s'installe entre les deux. Qui finira par l'emporter?
Une nouvelle qui combine espionnage et érotisme lesbien en plongeant dans l'atmosphère du harem, ses coutumes et ses intrigues.

Extrait:

La princesse Rulla était étendue sur son dos, nue, les mains et les jambes en croix, attachées aux baldaquins de son majestueux lit nuptial par des bandes en cuir. Ses yeux étaient couverts par un bandeau noir, mais il était difficile de les voir. Car ils étaient cachés par Louisa qui était assise sur son visage, les jambes de chaque côté de sa tête. Elle était habillée d’une courte robe en latex noir et portait des bottes à talons aiguille de la même couleur. Louisa tenait Rulla fermement par les cheveux et frottait rudement son sexe contre la bouche et le nez de la princesse avec des mouvements rapides de son bassin. Celle-ci essayait à la fois de trouver sa respiration et de s’acquitter de la tâche que Louisa l’encourageait à accomplir avec des mots peu conventionnels à l’adresse d’une princesse de son rang :
« Oui, sale pute. Lèche-moi comme l’esclave obéissante que tu es ! »
Louisa haletait bruyamment, alors que Rulla émettait des gémissements étouffés, sa langue essayant de garder le contact avec le clitoris et la vulve de Louisa qui lui échappait à cause du mouvement frénétique de ses hanches. Rien n’excitait Louisa plus que de dégrader la princesse avec ses mots. Encore plus que les coups qu’elle lui administrait ou les orgasmes qu’elle lui arrachait. C’était la preuve suprême de sa domination sur elle, de pouvoir l’humilier de la sorte. Elle, fille de parents modestes, traitant une princesse comme une moins que rien. Et elle était certaine de la réciproque. La princesse Rulla lui en fournissait la preuve presque chaque jour. Tout en continuant le frottement de sa chatte sur le visage de la princesse, elle se pencha en arrière et mit ses deux mains sur ses deux seins siliconés, y prenant support et les tripotant sans délicatesse, enfonçant ses ongles dans la chair délicate. La princesse en poussa un cri étouffé, mais continua de lécher le clitoris de sa dominatrice. Elle sut que Louisa jouissait quand celle-ci lui pris la tête entre ses cuisses et la serra de toute sa force, l’empêchant de respirer, sa langue essayant malgré tout de continuer son travail sur son clitoris.