Nos pieds, lors de la marche, nous invitent sans cesse à nous élever vers un ciel tout en restant en contact avec la terre. Joyeux paradoxe que celui-ci ! Ils nous disent encore les obstacles à nos démarches et à toutes nos tentatives de nous diriger vers nos antipodes. Premier pas sur le chemin spirituel, les pieds commencent le long pèlerinage qui conduira la conscience et l'énergie du marcheur vers l'autre voûte, celle du crâne, la métaphore corporelle du ciel étoilé.