Après les tomes 1,2,3, de Girls Girls Girls, voici le très attendu numéro 6 après le 5 et le 4 de la nouvelle série !

« Ces textes hurlent la nouvelle fiction pornographique débarrassée des images qui la rendaient muette » QQ Magazine

« Un remarquable travail de mise en abyme de l’objet du désir » Psychopatt Review

« Cherie LaSale synthétise tous les fantasmes à elle seule. Ce n’est plus une femme, c’est un concept. » Branle-Méninges Journal

Il existe une version homo très gay intitulé Boys Boys Boys 1, 2, 3 et 4, 5 et 6
Ces textes contiennent des scènes explicites à déconseiller aux jeunes et vieux yeux.

Cherie LaSale a été élue Miss Pompes à Essence au début de sa carrière avant d’être embauchée à plein temps dans le magazine U.S. GirlsGirlsGirls, dont elle fut le modèle vedette de toutes séquences photographiques. Chacune de ces séquences étaient légendée par des secrétaires payées au lance-pierre et mortes d’ennui.
Emportée par son succès, la revue s’internationalisa en version allemande et française. Les secrétaires élargirent leur boulot avec des dictionnaires pourris tandis que Cherie LaSale décrochait le Golden God’s God au Premier Festival de la Fesse de San Francisco. Montée sur le podium et émue, Cherie LaSale plaça le trophée entre ses ogives nucléaires pour faire rire la nombreuse assistance.
Qualifiée d’Objet de Désir par la presse spécialisée, Cherie LaSale signa pour des produits dérivés : une planche à surf pleine de courbes qui fit effectivement dériver les vicieux surfeurs qui l’achetèrent, et une poupée gonflable rendue célèbre par Jeff Koons et désormais au Guggenheim.

Poursuite de l’édition des textes hilarants de GirlsGirlsGirls (sans les photos). N°6
Aerobic Libido
Sex Top Mode
Go-go Cherie
Sex Dream
Hansel and Gretel-Cherie
Hard Harbor
Sexual Fire

(extrait du début)

AEROBIC LIBIDO

Cherie LaSale est une rareté aérobique. Elle est aussi folle de sexe, ce qui n’est pas une rareté. Elle emporte souvent sa musique dans le jardin près de sa maison, qui comme par hasard est tout près de la route, et elle fait ses exercices là. Souvent, peu de temps après avoir commencé, quelque jeune homme qui passe par là est attiré par ses pitreries. « C’est qui cette jolie fille à grosse poitrine qui préfère sautiller dehors en se flanquant les nichons dans la figure plutôt que tondre sa pelouse ? Moi, je lui arroserais bien son petit jardin. »
Il y en a un aujourd’hui qui passe la haie sans se gêner. Il s’allonge sur le gazon et la regarde, langue pendante. « Encore un mâle en rut ! » s’exclame mentalement Cherie à plein dans ses mouvements d’aérobic. Elle adore par-dessus tout voir des spectateurs car, dans l’âme et dans le corps, c’est une exhibitionniste. Et aussitôt qu’elle le voit, si intéressé qu’il bave sur sa chemise entrouverte, elle commence à faire une démonstration d’aérobic pour lui seul. Elle met bien en vue son corps, faisant remarquer ses seins et écartant ses jambes de telle façon qu’il puisse voir ce qu’il y a au milieu : un renflement fendu très appétissant et certainement très chaud dans ces circonstances. Au début, cet homme ne comprend pas ses intentions, mais elles se font très évidentes quand elle promène sa main entre ses jambes et caresse son con. C’est un mouvement d’aérobic très spécial qu’on ne voit que sur les chaînes spécialisées de la télé. « Regarde de plus près, mon garçon. Que penses-tu de ces nichons – pas mal, hein ? » Le gars veut lui aussi faire de l’aérobic mais il a un pantalon serré. Il faut se mettre à l’aise. Tout en continuant à sautiller comme Jane Fonda quand elle était presque jeune, Cherie La Sale qui est une fan, baisse le pantalon et le slip très tendu et y parvient malgré le mat qui bloque le tissu.